Dans « Street Art New York », chaque mur devient un récit, chaque coin de rue une surprise. Au fil de mes pas, j’ai capté les œuvres d’artistes anonymes ou reconnus, posées là comme des cris silencieux. La ville murmure à travers ses briques, ses tags effacés, ses fresques délavées. C’est une série qui ne cherche pas à documenter, mais à ressentir. Une dérive lente dans l’intimité artistique d’une ville brute et vibrante.

« The Abandoned Rose » met en scène une femme élégante, drapée de noir, dans un décor de plastique noir reflétant une ambiance mélancolique. La rose, symbole de beauté, repose abandonnée entre ses jambes, nous rappelant que même la beauté peut connaître l’abandon, et que le temps laisse son empreinte sur tout ce qui est précieux.

« The Cigarette Girl » est une ode à la rébellion.
Cette jeune femme rousse, au regard pénétrant et à la bouche charismatique, dégage une force brute, presque animale. Elle semble insaisissable, comme échappée d’un monde trop étroit pour elle. La cigarette devient un symbole : fumée, pause, provocation. Chaque image explore cette tension entre beauté et marginalité.

« The Cigarette Girl » est une ode à la rébellion.
Cette jeune femme rousse, au regard pénétrant et à la bouche charismatique, dégage une force brute, presque animale. Elle semble insaisissable, comme échappée d’un monde trop étroit pour elle. La cigarette devient un symbole : fumée, pause, provocation. Chaque image explore cette tension entre beauté et marginalité.

« The Cigarette Girl » est une ode à la rébellion.
Cette jeune femme rousse, au regard pénétrant et à la bouche charismatique, dégage une force brute, presque animale. Elle semble insaisissable, comme échappée d’un monde trop étroit pour elle. La cigarette devient un symbole : fumée, pause, provocation. Chaque image explore cette tension entre beauté et marginalité.

« The Cigarette Girl » est une ode à la rébellion.
Cette jeune femme rousse, au regard pénétrant et à la bouche charismatique, dégage une force brute, presque animale. Elle semble insaisissable, comme échappée d’un monde trop étroit pour elle. La cigarette devient un symbole : fumée, pause, provocation. Chaque image explore cette tension entre beauté et marginalité.

« The Cigarette Girl » est une ode à la rébellion.
Cette jeune femme rousse, au regard pénétrant et à la bouche charismatique, dégage une force brute, presque animale. Elle semble insaisissable, comme échappée d’un monde trop étroit pour elle. La cigarette devient un symbole : fumée, pause, provocation. Chaque image explore cette tension entre beauté et marginalité.

« The Fondue » revisite la tradition suisse avec une touche d’irrévérence.
Tatouages, gants de pilote et fromage en lévitation composent une scène aussi esthétique qu’absurde. Entre folklore et modernité, la Suisse fond… mais autrement.

« The Fondue » revisite la tradition suisse avec une touche d’irrévérence.
Tatouages, gants de pilote et fromage en lévitation composent une scène aussi esthétique qu’absurde. Entre folklore et modernité, la Suisse fond… mais autrement.

« The Fondue » revisite la tradition suisse avec une touche d’irrévérence.
Tatouages, gants de pilote et fromage en lévitation composent une scène aussi esthétique qu’absurde. Entre folklore et modernité, la Suisse fond… mais autrement.

« The Forest Girl » est une fable visuelle où nature, mystère et tension s'entrelacent.
Une jeune femme, presque irréelle, porte une robe de papier aussi fragile que poétique, seule au cœur de la forêt. Dans ses mains, une pioche ou un bidon d’essence soulèvent des questions : que cherche-t-elle ? Que prépare-t-elle ?
La lumière traverse les arbres, sublime cette scène à la fois douce et dramatique.
C’est un conte silencieux, entre beauté suspendue et menace latente.

« The Forest Girl » est une fable visuelle où nature, mystère et tension s'entrelacent.
Une jeune femme, presque irréelle, porte une robe de papier aussi fragile que poétique, seule au cœur de la forêt. Dans ses mains, une pioche ou un bidon d’essence soulèvent des questions : que cherche-t-elle ? Que prépare-t-elle ?
La lumière traverse les arbres, sublime cette scène à la fois douce et dramatique.
C’est un conte silencieux, entre beauté suspendue et menace latente.

« The Forest Girl » est une fable visuelle où nature, mystère et tension s'entrelacent.
Une jeune femme, presque irréelle, porte une robe de papier aussi fragile que poétique, seule au cœur de la forêt. Dans ses mains, une pioche ou un bidon d’essence soulèvent des questions : que cherche-t-elle ? Que prépare-t-elle ?
La lumière traverse les arbres, sublime cette scène à la fois douce et dramatique.
C’est un conte silencieux, entre beauté suspendue et menace latente.

« The Forest Girl » est une fable visuelle où nature, mystère et tension s'entrelacent.
Une jeune femme, presque irréelle, porte une robe de papier aussi fragile que poétique, seule au cœur de la forêt. Dans ses mains, une pioche ou un bidon d’essence soulèvent des questions : que cherche-t-elle ? Que prépare-t-elle ?
La lumière traverse les arbres, sublime cette scène à la fois douce et dramatique.
C’est un conte silencieux, entre beauté suspendue et menace latente.