Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

Dans « Misunderstanding », une jeune femme, pieds nus sur le parquet, s’abandonne à une posture entre lassitude et question. Un pull doux, un sofa orangé, un mur en bois… et cette main qui pend, presque absente. Son regard ne dit pas la colère, mais l’incompréhension, l’appel silencieux à ce qu’on ne saisit pas. Tout respire l’hiver : intérieur, feutré, émotionnel. C’est une image à la fois intime et universelle — celle d’un cœur qui attend qu’on le rejoigne.

« Pink Skull » est une photographie unique, fusionnant l’art horloger et l’univers du symbole. Au centre, une montre Jacquet Droz lévite : tourbillon ajouré, tête de mort rose, sertie de détails précieux. Autour d’elle, deux mains teintes de noir— l’une de femme, l’autre d’homme — semblent l’invoquer, sans jamais la saisir. Le contraste des noirs, du fond gris, et de ce rose éclatant crée une tension presque mystique. C’est une œuvre suspendue entre désir, puissance et intouchable beauté.

Dans « Gipsy », le mouvement et la couleur racontent une liberté à fleur de peau.
Elle ne regarde pas l’objectif, elle s’échappe.
Sa robe en dentelle rouge, sa silhouette généreuse et ce long bandeau vert aux reflets de verre soufflé composent une beauté singulière, charnelle.
Le fond sombre amplifie sa présence, comme une apparition bohème.
Une image forte, à la frontière du rêve et de la réalité.

Dans « He’s Gone », une jeune femme au charme intemporel est assise sur une caisse décorée, dans une atmosphère qui rappelle les tableaux d’époque. Son regard lointain et sa posture mélancolique traduisent une douce nostalgie, comme si elle venait d’un autre temps. La scène, capturée en Afrique, dégage une beauté nostalgique et picturale.

La série "GUERRE & PAIX" présente des images "fortes" emplies de symboliques. La femme est centrale dans ce projet. Souvent initiée par l'homme, la guerre déchire les coeurs et les entrailles. La beauté sauvera-t-elle le Monde? Qui se cache derrière le masque?

La série "GUERRE & PAIX" présente des images "fortes" emplies de symboliques. La femme est centrale dans ce projet. Souvent initiée par l'homme, la guerre déchire les coeurs et les entrailles. La beauté sauvera-t-elle le Monde? Qui se cache derrière le masque?

La série "GUERRE & PAIX" présente des images "fortes" emplies de symboliques. La femme est centrale dans ce projet. Souvent initiée par l'homme, la guerre déchire les coeurs et les entrailles. La beauté sauvera-t-elle le Monde? Qui se cache derrière le masque?

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.