La série « I Dream » explore la diversité des rêves et des pensées, à travers des portraits intimes et poétiques. Qu’il s’agisse de cette femme aux yeux fermés et au léger sourire, perdue dans ses pensées, ou de cet homme au regard tourné vers le ciel à travers la vitre de sa voiture, chaque photo nous rappelle que rêver est essentiel, et que chacun a sa propre façon de le faire.

La série « I Dream » explore la diversité des rêves et des pensées, à travers des portraits intimes et poétiques. Qu’il s’agisse de cette femme aux yeux fermés et au léger sourire, perdue dans ses pensées, ou de cet homme au regard tourné vers le ciel à travers la vitre de sa voiture, chaque photo nous rappelle que rêver est essentiel, et que chacun a sa propre façon de le faire.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Dans « L’Inconnue », une femme traverse les espaces d’un bazar-hôtel d’Ibiza comme un souffle venu d’ailleurs. Robe brune en soie, pieds nus, postures silencieuses… elle incarne l’esprit du lieu, à la fois réel et rêvé. Les décors, chaleureux et cosmopolites, vibrent autour d’elle comme une mise en scène naturelle. Elle ne parle pas, elle attend, ou peut-être elle veille. On ne sait rien d’elle, mais on voudrait tout savoir.

Le photographe Benny Tache est tombé amoureux de la Riviera helvétique, d'où il se dégage une énergie mystique. La vie n'est pas un long fleuve (ni un lac) tranquille. Il est venu le temps de se jeter à l'eau, de se délester du superflu, de se reconnecter à la nature, aux éléments... à soi-même. La série "RIVIERA VIBES" en découle.

Dans « La Piscine », l’espace devient presque sacré. Les murs de pierre, les reflets tremblants de l’eau et les lumières tombant du plafond créent une atmosphère suspendue. Au centre, une femme aux cheveux violets, de dos, bras ouverts à la surface de l’eau, incarne l’équilibre entre présence et absence. Son geste, sa solitude, interrogent : que fait-elle là ? Que cherche-t-elle à dire sans mots ?
C’est une image où l’architecture dialogue avec l’émotion — froide, belle, habitée.

Dans « La Piscine », l’espace devient presque sacré. Les murs de pierre, les reflets tremblants de l’eau et les lumières tombant du plafond créent une atmosphère suspendue. Au centre, une femme aux cheveux violets, de dos, bras ouverts à la surface de l’eau, incarne l’équilibre entre présence et absence. Son geste, sa solitude, interrogent : que fait-elle là ? Que cherche-t-elle à dire sans mots ?
C’est une image où l’architecture dialogue avec l’émotion — froide, belle, habitée.

Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.