Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

Dans « La Tunisienne », une femme traverse les décors anciens d’un village au cœur du désert. Appuyée contre les murs penchés de pierre, ou devant des portes colorées et usées, elle semble à la fois d’ici et d’ailleurs. Ses regards fuyants, ses gestes simples, son élégance naturelle évoquent un récit sans mots. Même aux côtés d’une vieille dame locale, le lien se tisse dans la lumière, les tissus, les teintes chaudes. C’est une série contemplative, empreinte de voyage, d’identité et de beauté suspendue.

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Dans « Le Plongeoir », la présence d’une femme dialogue avec le béton, le métal rouillé, le ciel lourd. Elle s’ancre dans l’espace comme une figure solitaire, presque sacrée.
Les poses sont droites, symétriques, presque architecturales, en contraste avec la nature agitée autour. Le lac Léman devient un théâtre silencieux, tendu, où tout peut basculer. C’est une série sur l’attente, la puissance du moment avant le saut… ou du choix de rester.

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Les poses sont droites, symétriques, presque architecturales, en contraste avec la nature agitée autour. Le lac Léman devient un théâtre silencieux, tendu, où tout peut basculer. C’est une série sur l’attente, la puissance du moment avant le saut… ou du choix de rester.

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