Dans « Le Plongeoir », la présence d’une femme dialogue avec le béton, le métal rouillé, le ciel lourd. Elle s’ancre dans l’espace comme une figure solitaire, presque sacrée.
Les poses sont droites, symétriques, presque architecturales, en contraste avec la nature agitée autour. Le lac Léman devient un théâtre silencieux, tendu, où tout peut basculer. C’est une série sur l’attente, la puissance du moment avant le saut… ou du choix de rester.

Dans « Le Plongeoir », la présence d’une femme dialogue avec le béton, le métal rouillé, le ciel lourd. Elle s’ancre dans l’espace comme une figure solitaire, presque sacrée.
Les poses sont droites, symétriques, presque architecturales, en contraste avec la nature agitée autour. Le lac Léman devient un théâtre silencieux, tendu, où tout peut basculer. C’est une série sur l’attente, la puissance du moment avant le saut… ou du choix de rester.

Dans « Le Plongeoir », la présence d’une femme dialogue avec le béton, le métal rouillé, le ciel lourd. Elle s’ancre dans l’espace comme une figure solitaire, presque sacrée.
Les poses sont droites, symétriques, presque architecturales, en contraste avec la nature agitée autour. Le lac Léman devient un théâtre silencieux, tendu, où tout peut basculer. C’est une série sur l’attente, la puissance du moment avant le saut… ou du choix de rester.

Dans « Le Plongeoir », la présence d’une femme dialogue avec le béton, le métal rouillé, le ciel lourd. Elle s’ancre dans l’espace comme une figure solitaire, presque sacrée.
Les poses sont droites, symétriques, presque architecturales, en contraste avec la nature agitée autour. Le lac Léman devient un théâtre silencieux, tendu, où tout peut basculer. C’est une série sur l’attente, la puissance du moment avant le saut… ou du choix de rester.

Dans « Le Plongeoir », la présence d’une femme dialogue avec le béton, le métal rouillé, le ciel lourd. Elle s’ancre dans l’espace comme une figure solitaire, presque sacrée.
Les poses sont droites, symétriques, presque architecturales, en contraste avec la nature agitée autour. Le lac Léman devient un théâtre silencieux, tendu, où tout peut basculer. C’est une série sur l’attente, la puissance du moment avant le saut… ou du choix de rester.

« The Fondue » revisite la tradition suisse avec une touche d’irrévérence.
Tatouages, gants de pilote et fromage en lévitation composent une scène aussi esthétique qu’absurde. Entre folklore et modernité, la Suisse fond… mais autrement.

« The Fondue » revisite la tradition suisse avec une touche d’irrévérence.
Tatouages, gants de pilote et fromage en lévitation composent une scène aussi esthétique qu’absurde. Entre folklore et modernité, la Suisse fond… mais autrement.

« The Fondue » revisite la tradition suisse avec une touche d’irrévérence.
Tatouages, gants de pilote et fromage en lévitation composent une scène aussi esthétique qu’absurde. Entre folklore et modernité, la Suisse fond… mais autrement.

Dans « The Roxy – New York », le temps semble suspendu. La scène est vide, mais tout est là : le micro vintage des années 50, la guitare posée, la batterie immobile.
En arrière-plan, le mur de briques et le néon du Roxy racontent l’histoire d’un lieu chargé d’âme. C’est une photo sans humain, mais pleine de présences invisibles.
Un hommage à l’énergie de la musique, juste avant qu’elle ne prenne vie.

Dans « The Walkyrie », une silhouette se détache dans un clair-obscur sculptural.
Le regard fermé, la longue tresse tombant jusqu’à la hanche, elle évoque la guerrière des légendes nordiques. Sa peau mouillée, sa blouse métallique légère, presque divine, contrastent avec la douceur de son ventre et la courbe de sa poitrine. Le fond drapé ajoute au mystère, entre lumière et ombre. C’est une apparition, puissante, tranquille, transcendante.

Dans « Le Vin, la Vie », l’artiste Benny Tache propose une vision inédite et artistique du vin, symbole de convivialité et de partage. En tenant la bouteille d’une façon surprenante, et en remplaçant l’étiquette par du simple scotch, il invite à redécouvrir cet univers sous un angle novateur et poétique.

Dans « Le Vin, la Vie », l’artiste Benny Tache propose une vision inédite et artistique du vin, symbole de convivialité et de partage. En tenant la bouteille d’une façon surprenante, et en remplaçant l’étiquette par du simple scotch, il invite à redécouvrir cet univers sous un angle novateur et poétique.

« Food Passion » présente des images qui sublime les aliments du quotidien en de véritables objets d’art, jouant sur des mises en scène contemporaines et minimalistes. Chaque composition, qu’il s’agisse d’un citron perlé de gouttelettes ou d’un poulet disposé sur de la pierre brute, évoque une esthétique à la fois intemporelle et surprenante, parfaite pour sublimer un espace culinaire ou un intérieur moderne.

« Food Passion » présente des images qui sublime les aliments du quotidien en de véritables objets d’art, jouant sur des mises en scène contemporaines et minimalistes. Chaque composition, qu’il s’agisse d’un citron perlé de gouttelettes ou d’un poulet disposé sur de la pierre brute, évoque une esthétique à la fois intemporelle et surprenante, parfaite pour sublimer un espace culinaire ou un intérieur moderne.